Cette semaine, les auditeurices de GRRIF livrent leurs éloges et leurs foudres sur le premier album du sextet lausannois Minus One. Le 28 mars, ils dévoilent Azur sur Table Basse Records.
« La musique de Minus One vient des profondeurs, des tripes, et on essaie d’en faire des émotions. » Jocelyn, bassiste
Les six morceaux ficelés dans cet EP fusionnent la froideur des outils électroniques à la chaleur des instrumentations organiques. Minus One se promène résolument du côté trip hop, rock et électronica de la force. Et puis surtout, ces deux voix… celles de Dominique et Asher, qui se croisent, s’emboîtent et se portent. Azur est un disque à la fois éthéré et grave, doux et intense. Dans leur bio, les Lausannois confient : « Minus One est un pacte silencieux entre six personnes. Entre Massive Attack, Black Country New Road ou encore Archive, on aime utiliser la tristesse et la mélancolie comme sujet et y trouver une certaine lumière. »
« On a ce synthé et ces voix qui flottent mais la basse et la batterie qui sont hyper ancrées au sol. Comme deux corps qui s’éloignent mais qui sont attachés. » Jocelyn
Pour découvrir si « la lumière fut » pour les auditeurices qui ont écouté Azur, Le Debrief accueille Jocelyn, le bassiste du groupe pour réagir aux critiques.
Minus One, Le Debrief :
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