Les deux murs porteurs du collectif lausannois Yoyoya s’appellent Thats Xayachack (guitare et chant) et Olivier Schubert (basse). Pour faire naître leur premier album, ils se sont entourés d’une dizaine d’artistes dont le producteur Christian Pahud (Honey for Petzi et Larytta) à la batterie et au mix, et Delphine Bovey pour les textes et les visuels. Le 17 mai, cette jolie grappe de créateurs sortent Alpenglow.
« Une impression de rêverie, de détente, de sérénité. On ne sait pas si c’est la voix qui chante pour la musique, ou le contraire. » Un auditeur
Neuf titres soufflés à l’oreille lors d’une balade indie-pop hyper feel-good au cœur des montagnes. Des sonorités langoureuses et élégantes comme une mousse à la pistache…on découvre avec surprise des textes tantôt en français, en l’anglais, en japonais et même en laotien. Une utilisation des langues pour leur texture plus qu’une hommage aux origines. Les artistes nous disent : « Les paroles abordent plus spécifiquement des choses somme toutes assez simples et universelles, mais toujours avec beaucoup de poésie : on y parle de montagne, d’errance, d’amour, de la solitude et de la joie d’avoir un foyer et des amis. Les ambiances sont planantes, les paysages vastes, majestueux, tout ça taillé à coup de superbes riffs de guitares et d’arrangements luxuriants. »
« Il est quand même un peu chaotique cet album. ça peut être parfois tendu de marier du Laotien avec une batterie très College Rock par exemple. » Thats de Yoyoya
Dans Le Debrief, le chanteur du groupe, Thats, découvre vos avis sur l’album et réagit à vos critiques.
Yoyoya, Le Debrief :
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