Ça faisait huit ans que cet enfant du pays avait posé ses valises à Londres. Aujourd’hui poussé par l’inflation des loyers dans la capitale anglaise, Gaspar Narby se voit rentrer au nid pour quelques mois. Dans Le Debrief, on a profité pour lui faire écouter les critiques du public sur son très délicat cinquième EP : Sunny Somewhere.
« Il y a un côté recueillement du dimanche matin à 11h, le soleil se lève, tu sors la guitare avant d’aller à la messe. » Un auditeur
Cinq titres qui s’empilent comme un mille feuilles électro-chill d’instruments acoustiques, de textures électroniques et d’une voix délicatement soufflée comme une mousse à la vanille pulsée hors d’un siphon. Gaspar Narby nous explique : « Sunny Somewhere prend son temps dans un monde qui ne le fait pas. Il explore, ces endroits ensoleillés en nous-mêmes et dans le monde, qui agissent comme des refuges et nous fournissent l’énergie nécessaire pour avancer. »
« Il y a une vraie vulnérabilité dans le fait de chanter…toute l’identité de quelqu’un est dans sa voix. » Gaspar Narby
Gaspar Narby, Le Debrief :
Crédit image : lenasansaccent
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