Cette semaine dans Le Debrief, GRRIF a récolté vos critiques sur le tout premier album du duo franco-veveysan Eckhart formé par John Silvestre et Laurent Glur. Far From God est sorti la semaine dernière sur le label Blizzard Audio Club et les dix morceaux sont sans compromis. Urgents et punks, tantôt atmosphériques, tantôt électros, la plupart du temps très industriels avec des sonorités noise, drum and bass ou breakcore. La musique d’Eckhart se balade quelque part entre les univers de Death Grips, Psychic TV, Prodigy ou les Chemical Brothers.
« En écoutant ces rythmes haletants et ces cris ça m’a sorti de moi-même…j’avais l’impression qu’ils s’énervaient à ma place… et ça me libérait d’un poids quelque part. » Un auditeur
Si le disque éloigne effectivement certains auditeurs du tout-puissant par sa fureur, il secoue les tripes de tout un chacun, sans exception. Far from God est un album cathartique qui polarise les opinions. On écoute vos critiques en compagnie du producteur et chanteur d’Eckhart, John Silvestre.
« On vit une période bizarre et très sombre. Eckhart m’a permis de transformer cette colère, cette souffrance et cette tristesse en une pulsion de vie hargneuse. » John Silvestre d’Eckhart
Eckhart, Le Debrief :
Crédit image : Nikita Thévoz
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