Cette semaine dans Le Debrief, on a récolté vos avis bien trempés sur le dernier album de WolfGang, une formation hybride de cinq musiciens et de quatre rappeurs originaires de Nyon. Cet été, ils ont sorti Exil : huit titres remplis de lyrics fougueux, mais aussi de saxo, de basse, de batterie et toute une instrumentation qui transpire la soul seventies. Le rap jazzy singulier de la meute WolfGang se place loin des clichés du genre.
« Dans la mesure où on se détache d’une volonté de commercialisation, on se libère et on se doit de péter ces codes du rap moderne. » Antoine, batteur et co-producteur de WolfGang
Les neuf artistes se sont d’abord rassemblés pour la scène, pour le live. Ils ont notamment foulé les scènes du Paléo, du Caribana ou du Ptit du Gros. D’ailleurs, dans le dossier de presse on peut lire : « Montée sur un coup de tête pour une date supposée unique à l’automne 2018, la formation a parcouru un long chemin. Une énergie intacte, un ton qui varie du mélancolique au léger, un style qui passe de l’afro suave au punk énervé en passant par le jazz introspectif. »
Avec Antoine Lablanquie, on écoute vos critiques sur l’album Exil, juste ici :