GRRIF vous présente IMPSTRS (imposteurs à l’oral) : le duo formé par les lausannois Quentin Andreotti (batterie) et Orestis Kyritsis (guitare/chant). Le 31 mai, ces amoureux inconditionnels de rock des années 90-2000 sortent leur premier EP : Crimson, sur le label Table Basse Records.
« C’est un univers qui a bercé notre jeunesse auquel on s’est attaché. Mais ce rock-là est aussi un format propice à la jam et au duo guitare-batterie. » Quentin Andreotti, batteur
Quatre titres sur lesquels on sent clairement planer les fantômes d’Incubus, des Red Hot Chili Peppers, de Radiohead, Pearl Jam et même Rage Against the Machine. Des influences vintage et nostalgiques complètement assumées pour nous dire à la fois qu’on n’a rien fait de mieux depuis, et qu’une appropriation, c’est toujours une manière de rendre hommage.
« De toute évidence, c’est une musique qui s’écoute en live avec de la sueur, des veste en cuir et des cheveux gras peut-être. » Un auditeur
Le rock d’IMPSTRS ne fait pas que dans le revival nostalgique. Leur son intègre également des éléments progressifs, stoner et psychédéliques plus représentatifs de la scène actuelle. Ce sont les cessions d’impros de l’EJMA à Lausanne, dans les sous-sols de l’école, qui ont cimenté le duo en 2014. Dans Le Debrief, vous nous livrez vos opinions bien trempées sur Crimson et les artistes vous répondent juste ici :
IMPSTRS, Le Debrief :
Crédit image : Nikita Thévoz
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