Cette semaine dans Le Debrief, des auditrices et des auditeurs anonymes ont écouté et jugé le dernier album hyperdisco du quintet Bienno-Chaux-de-fonnier : Club Plaisir. Le 15 mars dernier, ils ont verni Planète Vacances, huit morceaux qui poussent indécemment au voyage vers la fête et l’oisiveté.
«L’ambiance spatiale m’a moins touchée. ça m’a plus embarquée quand c’était langoureux, groovy et sensuelle, comme dans le titre Sable Chaud». Une auditrice
Sur Planète Vacances, on nage entre la funk de Khruangbin, le psychédélisme français seventies d’un Bertrand Burgalat, Diana Ross et le disco-kitsch flamboyant du générique d’une série policière eighties du samedi après-midi ou de la bande son érotique du vendredi soir très tard. Club plaisir, un univers hyperdisco instrumental superlativement nourri de tout ce que les autres styles font de plus ardent et stroboscopique. Avec Sable Chaud, La Mer Sucrée, Coco Samba ou Bain de Minuit, Planète Vacances nous envoie sur une plage sous la pleine lune avec en queue de comète une odeur de monoï et de pina colada. Rémy Rufer, clavier et Emilio Vidal, guitariste, réagissent à vos critiques dans Le Debrief.
« Les vacances idéales, c’est déjà juste d’en avoir. » Rémy Rufer
Club Plaisir, Le Debrief :
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