En 1944, Robert Siodmak réalise « Les Mains qui tuent« , un classique du film noir. Le réalisateur allemand, très influencé par l’expressionnisme de son pays natal propose des jeux d’ombres et de lumières remarquables au service d’un film captivant. Sortie le 25 mai chez l’éditeur Éléphant.
« C’est le premier film noir dont le héros est une femme »
Écoutez la chronique du film réalisée dans l’émission Paf Pastèque.
Crédit image : l’éditeur Eléphant