Qualifié de pilier de la pop genevoise, ça fait plus de 20 ans qu’Alenko fait ses armes dans la musique.Ses amours : la soul, la pop, le rock, les musiques urbaines ou l’électro, mais surtout les textes, les mots qu’il manie comme un orfèvre avec beaucoup de malice et de philosophie.
«Ça m’arrive de dormir et de rêver de musique, de mots, tellement fort que ça me réveille, et je me demande si ça vient de moi.»
Aujourd’hui, Alenko compte six albums dans son baluchon, dont « Lifting », sorti l’année dernière. Dans Engrenage, il nous emmène avec lui en pleine répétition et il revient sur sa première scène, à l’époque où la bouteille lui faisait de l’œil pour apaiser sa timidité.
«Il y a une grande différence entre ‘être’ et ‘vouloir être’. Quand on ‘est’ on ne réfléchit pas à ce qui nous arrive. On est dans l’instant présent.»
Si vous voulez savoir comment Alenko compose certains textes de ses chansons, en recevant des flash tard dans la nuit, ou comment les deux accidents qui ont failli lui coûter la vie ont impacté sa vision du monde et sa pratique artistique, c’est dans Engrenage, juste ici :