La fameuse exposition Body Worlds débarque en septembre à Genève, et avec elle la polémique habituelle. Ce qui gêne depuis ses débuts dans les années 90, ce sont les quelques 200 cadavres sans peau, conservés par plastination.
Vincent Sager, le directeur de la société organisatrice Opus One, nous explique ce qu’il pense de cette polémique qui revient sans cesse.
« Ce n’est pas anodin de visiter l’exposition. Les gens sont confrontés à leur propre mort »