La Suisse regorge de musiciens talentueux dans les domaines de la noise ou de la musique expérimentale. Vous n’avez peut-être pas tout de suite énormément de noms qui vous viennent à l’esprit.
Pourtant, notre pays est connu et reconnu à l’étranger pour son terreau d’artistes qui explorent le son et apportent leur pierre à l’édifice de la musique expérimentale : Christian Müller, Antoine Chessex, Dave Philips, Gilles Aubry, Laurent Güdel ou Francisco Meirino, etc. Dans cette grande famille des tritureurs sonores suisses, on a justement attrapé au téléphone le Lausannois Franscico Meirino. Ce soir, à 20h30 à la librairie Humus, il vernit à la fois un disque, The Ruins, et un livre, Infernal à l’intérieur. Avant qu’il nous parle de son travail, étant donné que Francisco fait partie des musiciens qui comptent sur la scène expérimentale suisse et internationale, on lui a demandé de nous décrire comment il la qualifierait.