In da club (2/5) : beaucoup de salles de concerts sur un petit territoire

18 septembre 2024

Du 16 au 20 septembre, GRRIF est In da club  : tous les jours de 17 à 18h, nous donnons la parole aux salles de concerts en Suisse romande, pour tenter de savoir comment elles vont. Après que plusieurs clubs ont avoué leurs difficultés et dysfonctionnements ces derniers mois, on s’est dit qu’on allait prendre le pouls ; qu’on allait tenter de comprendre quels sont les défis auxquels ils font face.

Dans le premier épisode d’In da club, Céline a poussé la porte de plusieurs salles de concerts, pour interroger les secteurs qui semblent souffrir le plus. Aujourd’hui, on s’intéresse à la géographie : en Suisse romande, l’Association Petzi dénombre une quarantaine de clubs, parmi ses membres. Et puisque toutes les salles ne rejoignent pas Petzi, il y en a encore davantage, sur un petit territoire. Alors, est-ce que ce contexte géographique particulier et cette densité peuvent avoir un lien avec la santé des clubs ? C’est la question à laquelle Caroline tente de répondre dans ce nouvel épisode d’In da club.

« L’opportunité d’aller dans un festival, elle est parfois beaucoup plus sexy que d’aller dans une salle de concerts. Un partenaire va plus facilement engager son image au bord de l’eau, avec du soleil pendant 3 jours, que pendant 120 concerts à la Case à Chocs. » – Jean-Marie Lehmann, coordinateur technique à la Case à Chocs

GRRIF au cœur de l’écosystème de la musique live, c’est toute cette semaine de 17 à 18h, dans In da club. Dans le prochain épisode d’In da Club, nous parlerons de l’évolution de l’industrie musicale et de son impact sur les salles de concerts.

Ecouter l’épisode 1 : Problématiques internes et structurelles des salles de concerts en Suisse romande
Ecouter l’épisode 3 : L’évolution de l’industrie musicale et son impact sur les clubs
Ecouter l’épisode 4 : Le public et sa consommation de la musique live
Ecouter l’épisode 5 : Les clubs du futur

Une enquête réalisée avec le soutien de :

Photo de couverture : Thomas Ebert pour les Docks.