Le valaisan David Glassey est tombé dans la lumière il y a presque 20 ans. Ses armes, il les a aiguisées auprès de Samael ou dans sa salle de concerts de l’époque, le Veaudoux à Monthey.
Engagé par Sophie Hunger et le Montreux Jazz , cet ingé light a vu passer des dizaines d’artistes mythiques sous ses projecteurs: Obituary, Carcass, Cathedral, Bootsy Collins, Woven Hand, Opeth, Arch Enemy, Mariane Faithfull, etc.
David possède de multiples cordes à son arc : programmateur, administrateur et désormais manager d’Alice Torrent.
En 2015, il s’est même retrouvé tour manager d’une tournée de 6 semaines avec 35 métaleux à travers toute l’europe.
Mais si l’ancien chanteur d’Herod a choisi l’éclairage, c’est peut-être aussi parce qu’il est un peu paresseux.
«J’ai déterminé la suite de ma vie par un acte d’héroïsme fainéantisien »
Dans Engrenage, il nous explique comment fonctionne une console lumière, les raisons de son départ d’Herod, les joies des tournées internationales, son amour pour Alice Torrent et les contraintes de son(ses) métier(s).
«De moins en moins de monde croit que c’est juste une équipe de branleurs qui se mettent sur le toit tous les soirs (…) mais les gens comprennent pas que tu arrives dans une salle à 9h pour un concert à 22h»