Son groupe de post hardcore a le nom d’une navette spatiale qui a mal fini : Challenger.
À bord, c’est lui qui pilote et qui tient le micro.
Dans Les Culturbitacées, on a demandé à Fabien Boissieux si c’est facile d’être à la fois agent, programmateur et artiste et surtout pourquoi il se met dans un état pareil durant ses concerts. Il a même crié rien que pour GRRIF.
Du métal a capella, c’est juste ici :