Le temps, il lui court toujours après, mais il a réussi à en garder un peu pour venir nous raconter son parcours et sa vision de la culture dans Engrenage. Prof en arts visuels au secondaire et à l’Ecal, plasticien, musicien autodidacte et créateur boulimique, il a co-fondé Honey for Petzi, Larytta ou encore Bombers.
«J’ai un problème avec les «je sais pas». Même quand je sais pas, j’aime bien qu’on sache. J’aime pas les indécisions qui s’éternisent.»
Ensemble, on a discuté d’Honey for PETZI, notamment de leur album enregistré chez Steve Albini et de leur existence future, de son amour pour la batterie, de la scène musicale romande, de son retour de résidence en Afrique du Sud, et d’art contemporain.
«Pour réussir dans la musique, il faut y aller à fond. Nous on a quand même le goût d’un certain confort, et peut-être moins d’une certaine prise de risque.»