Dans Le Debrief, on récolte vos critiques sur le premier EP du projet solo du biennois Bertrand Vorpe, alias Ruisseau Cerise. Le disque s’appelle Velours, il sort le 2 février sur le label Blizzard Audio Club et la plupart du temps, il vous a caressé dans le sens du poil.
« C’est comme des plumes qui tombent… ou un sorbet acidulé qui tire vers la fraise, le basilic. » Une auditrice
Viens, s’émerveiller, dans le velours, sous les arbres, à bord de notre fusée, corail, les titres des six morceaux mis bout à bout forment à eux seul un appel aux jeux d’enfants. Un voyage éthéré, doux et lumineux, une grosse caresse remplie de synthés lo-fi et de riffs de guitares épurés, le tout porté par une voix diaphane et faussement naïve, nous dit-on.
« Sortir un tel projet, c’est donner une part de soi et oser se mettre à nu. Ça demande du courage. » Un auditeur
On entend parfois Muddy Monk, Sébastien Tellier ou Moderat. Ruisseau Cerise c’est de la dream pop qui invoque le printemps et les méandres de l’amour kitsch. Bertrand Vorpe réagit à vos critiques sur son disque juste ici :
« C’est un peu de la musique de sauna. Je suis pas un songwriter, juste un musicien qui propose des textures sonores. Il y a de la voix noyée dans des kilomètres de reverb parce que j’aime ça. » Bertrand Vorpe
Ruisseau Cerise, Le Debrief :
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