La musique électronique de Rone, c’est un surplus de sensibilité apposé à une production léchée. Pour son dernier album, Mirapolis, le français s’offre de multiples collaborations avec des artistes aux univers très différents. Le résultat, c’est un voyage aérien, planant.
GRRIF a profité de la tournée de Rone en Suisse pour le rencontrer à la Case à Chocs à Neuchâtel. L’occasion de parler avec lui de son goût pour l’imprévu et de la correspondance des arts dans Mirapolis.
«Ma musique est très narrative, je la conçois comme une petite histoire.»
La salle de concert pleine d’un public surchauffé nous a aussi offert quelques retours sur l’ambiance de soirée.